![#5- Les villes éco-féministes - Le 5ème épisode des Villes renversées porte sur Les villes éco-féministes.
« La ville est une mémoire organisée [et] les femmes sont les oubliées de l’histoire » disait Hannah Arendt. Autrement dit, les villes ne sont pas des constructions neutres et ne peuvent être réduites à de simples objets architecturaux, techniques ou réglementaires. Elles sont le fruit d’une longue histoire et d’une culture spécifique. Car l’espace urbain reproduit les pratiques sociales et culturelles dominantes telles que les rapports de pouvoir de l’Homme sur la nature, sur la terre, sur les pauvres, sur les femmes. Il attribue, en fonction des différentes périodes de l’histoire, une place particulière aux femmes dans l’espace public.
Le mouvement éco-féministe nous invite à repenser nos sociétés à la lumière des logiques de domination de la nature et de la femme. Il développe une critique de l’anthropocentrisme, fondé sur la prépondérance d’une culture masculine et souligne les liens qui existent entre domination de la nature et oppression des femmes. Il propose la fin de la destruction écologique et de la soumission des femmes dans un cadre d’émancipation commun.
Pour l’éco-féminisme, les questions d’écologie et de féminisme sont intrinsèquement liées : la prédominance des valeurs masculines a entraîné une oppression des femmes par les hommes et une exploitation outrancière de la nature et de la terre par les humains. #5- Les villes éco-féministes](/attachments/images/broadcast/12/image.png)
#5- Les villes éco-féministes ( LES VILLES RENVERSEES )
Le 5ème épisode des Villes renversées porte sur Les villes éco-féministes.
« La ville est une mémoire organisée [et] les femmes sont les oubliées de l’histoire » disait Hannah Arendt. Autrement dit, les villes ne sont pas des constructions neutres et ne peuvent être réduites à de simples objets architecturaux, techniques ou réglementaires. Elles sont le fruit d’une longue histoire et d’une culture spécifique. Car l’espace urbain reproduit les pratiques sociales et culturelles dominantes telles que les rapports de pouvoir de l’Homme sur la nature, sur la terre, sur les pauvres, sur les femmes. Il attribue, en fonction des différentes périodes de l’histoire, une place particulière aux femmes dans l’espace public.
Le mouvement éco-féministe nous invite à repenser nos sociétés à la lumière des logiques de domination de la nature et de la femme. Il développe une critique de l’anthropocentrisme, fondé sur la prépondérance d’une culture masculine et souligne les liens qui existent entre domination de la nature et oppression des femmes. Il propose la fin de la destruction écologique et de la soumission des femmes dans un cadre d’émancipation commun.
Pour l’éco-féminisme, les questions d’écologie et de féminisme sont intrinsèquement liées : la prédominance des valeurs masculines a entraîné une oppression des femmes par les hommes et une exploitation outrancière de la nature et de la terre par les humains.

Invité Mandy Lerouge
La chanteuse et journaliste marseillaise Mandy Lerouge qui consacre ses recherches et répertoires aux cultures du Nord de l’Argentine.

Invité Pauline Cohadon
Urbaniste, fondatrice et directrice de l’agence d’urbanisme « l’Effet Urbain ».

Invité Coline Dhaussy
Sociologue du genre, spécialisée sur les violences liées au genre. Elle est co-réalisatrice du film documentaire "Ni les Femmes Ni la Terre ! ", qui s’intéresse aux mouvements écoféminsites développés en Argentine et en Bolivie. Mail : nilasmujeresnilatierra@gmail.com
« La ville est une mémoire organisée [et] les femmes sont les oubliées de l’histoire » disait Hannah Arendt. Autrement dit, les villes ne sont pas des constructions neutres et ne peuvent être réduites à de simples objets architecturaux, techniques ou réglementaires. Elles sont le fruit d’une longue histoire et d’une culture spécifique. Car l’espace urbain reproduit les pratiques sociales et culturelles dominantes telles que les rapports de pouvoir de l’Homme sur la nature, sur la terre, sur les pauvres, sur les femmes. Il attribue, en fonction des différentes périodes de l’histoire, une place particulière aux femmes dans l’espace public.
Le mouvement éco-féministe nous invite à repenser nos sociétés à la lumière des logiques de domination de la nature et de la femme. Il développe une critique de l’anthropocentrisme, fondé sur la prépondérance d’une culture masculine et souligne les liens qui existent entre domination de la nature et oppression des femmes. Il propose la fin de la destruction écologique et de la soumission des femmes dans un cadre d’émancipation commun.
Pour l’éco-féminisme, les questions d’écologie et de féminisme sont intrinsèquement liées : la prédominance des valeurs masculines a entraîné une oppression des femmes par les hommes et une exploitation outrancière de la nature et de la terre par les humains.
"#5- Les villes éco-féministes"
"#5- Les villes éco-féministes"
LES VILLES RENVERSEES
La nouvelle collection de podcasts proposée par Raphael Besson, chercheur en socio-économie urbaine pour un nouveau récit des villes.
Avec lui, nous allons faire de la recherche indisciplinée !
Nous intéresser à l’invisible, à l'envers du décor et aux textes cachés des villes pour écrire un nouveau récit de la ville contemporaine. Celui de l’en dehors, de la nature et de la biodiversité, de la culture du quotidien, du bricolage, de la frugalité ou encore du soin et de l’attention à l’autre.
Nous accueillerons des chercheurs, des habitants, des activistes, des artistes, des agents de collectivités ou de ministères qui partageront d’autres visions, d’autres expériences de la ville autour d‘un invité principal.
Ensemble, faisons place, pour une fois, à l’incertitude, au hasard, aux villes chaotiques, à l’inconscient, aux névroses et pourquoi pas à la sexualité des villes.
Parce que c’est cela les villes renversées !
Animé par Raphaël Besson et Cendrine Dominguez
Durée : 40 mn
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